Il semble que la polémique « juridique » soulevée par le bâtonnier Brahim Ould Ebety sur « l’impossibilité » de la recevabilité par le Conseil Constitutionnel du recours de la défense de l'ancien président de la République contre l'inconstitutionnalité de l'article 2 de la loi anti-corruption, au motif que « le président n’est pas au-dessus des lois
Vivre en Mauritanie, c'est naviguer quotidiennement entre espoir et résilience. Ce pays, riche de traditions ancestrales et de paysages sublimes, cache en son sein des défis profonds qui forgent l'âme et l'esprit de ses habitants. La Mauritanie est une terre où le désert embrasse l'océan, symbolisant la dualité de l'existence humaine.
Dans les méandres tumultueux de l'histoire mauritanienne, où les vents chaud de l'harmattan n'ont d'égal que celui de la trahison, de l'opportunisme et de la flagornerie, se dressent, tels des phares dans la nuit, des figures d'une rare intégrité.
Ces dernières années, les équilibres mondiaux ont connu des turbulences significatives marquées par une guerre de haute intensité en Europe et un conflit meurtrier d’une durée sans précédent au Moyen Orient.
Une question que se posent beaucoup de mauritaniens et qui cache mal leur sentiment de jalousie après la leçon politique que la République du Sénégal, notre sœur, notre voisine, a donnée à l'Afrique toute entière.
Il y a 30 ans, le génocide contre les Tutsis endeuillait le monde entier. A l'origine directe de cette immense tragédie, les incitations haineuses d'aventuriers politiques mobilisant les plus bas instincts de la foule, en confondant leurs ambitions personnelles et leur carrière avec les intérêts de l'ensemble de leurs peuples.
Rejoignant le choeur de ceux qui saluent la tradition démocratique du Sénégal, je ne peux m'empêcher de reconnaître l'importance des récentes élections dans un contexte régional caractérisé par un recul démocratique et une dérive autoritaire.
Assiégé par le cauchemar [sioniste] depuis soixante-quinze ans, le peuple palestinien martyr subit actuellement à Gaza un horrible génocide légitimé par l'Occident qui le qualifie de « légitime défense ».